Whatever works
Après avoir bu un chocolat à la crême épaisse, au chalet de Balme, nous redescendons dans la vallée.
De retour à Annecy, où il tombe quelques gouttes, je visite les librairies et achète un CD de Roxy Music.
Nous dînons dans un nouveau restaurant de la rue Sainte Claire, puis nous allons voir le dernier Woody Allen. Whatever works m'a déçu. Le jeu de l'acteur principal ne m'a pas convaincu. J'ai trouvé ce film, malgré quelques répliques amusantes, beaucoup moins réussi que les précédents. Le discours à la superficie des choses sur des aspects aussi essentiels de la vie que la foi ou la sexualité m' a lassé. Deux choses m'agacent par dessus tout: le cynisme de celui qui se croit, toujours à tort, au dessus des autres et le côté politiquement correct sur l'air: rien de mieux qu'un juif new-yorkais athée de gauche!