Face au mal absolu
Je poursuis la lecture de l'origine de la violence de Fabrice Humbert.
Pénible chapitre 9. Description d'actes sauvages commis dans le camp de Buchenwald. Je saute des paragraphes sans les lire. Que l'auteur me pardonne!
Je connais l'agressivité qui peut être présente en moi, mais je crois que je serais incapable de torturer et tuer ainsi mes frères humains. Je le crois comme je crois en Dieu. C'est à dire avec humilité et une bonne dose d'espérance.
L'horreur allemande nazie plus que le crime soviétique communiste me fait mal car elle a lieu à la rencontre inhumaine de deux peuples qui me sont chers: les Allemands dont j'aime le pays, l'immense culture, la musique, les hommes et de l'autre côté les Juifs dont la pensée et les croyances m'accompagnent chaque jour.