and then they were seven
Après une semaine très occupée et une dernière rencontre avec des journalistes locaux, je regarde un épisode de prison break," and then they were seven"!
Scénario efficace qui me tient attentif!
Je suis l'épisode en anglais, et m'habitue à l'acccent yankee.
La noirceur des personnages à l'intérieur et à l'extérieur de Fox River. On ne sait qui est le pire, du gardien cruel Bellick, du brutal truand Abruzzi, ou de l'homosexuel raciste et violeur TBag....
Très frappé une fois encore par le contraste entre la crudité des scènes de violence et la pudeur extrême de la caméra dès qu'il s'agit de filmer des corps ou des étreintes.
Il faudra 18 minutes aux gars pour réussir leur cavale. Scofield calcule. "We 've got to many people". Des ennuis en perspective...