24 juillet 2010
Alexanderplatz, Ernüchterung
Pourquoi ne pas l'avouer à l'issue de cette première promenade dans l'Alexanderplatz? Je suis déçu.
Ce nom évoquait pour moi tant de choses et la réalité m'a paru terne.
J'ai trouvé l'endroit bien froid malgré la relative douceur de ce samedi de juillet.
Je m'y suis senti isolé malgré la foule.
J'ai éprouvé de la mélancolie malgré l'animation et la musique de ce lieu.
J'ai levé les yeux vers ces grands immeubles qui nous barraient l'horizon, ces Arbeiterkäfige ("cages à travailleurs"), ces 365 mètres de la tour de télévision que l'orgueil de la RDA a élevée. Et tout ceci me parut d'une infinie tristesse....
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