31 octobre 2009
le campo san Polo
Je reste seul assis sur mon banc après le départ du jeune officier allemand. Je sens encore le parfum glacé qu'il portait sur lui. J'ai un peu froid dans ma veste de cuir. J'ouvre le rivage des syrtes et relis le premier chapitre.
Orsenna par bien des côtés a les traits de Venise...
Publicité
Commentaires