29 juillet 2009
de retour du cirque deTrémminis
Vers 17 h00, nous décidons de redescendre. Une heure à marcher précautionneusement sur ce pierrier ardent comme le grill de saint-laurent-je pense à la petite plaque de piété qui est près du lit de mon frère-.
Dès que les passes délicates sont passées, il n'y a plus que cette joie pure, enfantine d'être là. Je lève les bras et crie mon bonheur. J'ai la chanson Friends des Beach boys en tête...
un peu plus tard dans le sentier forestier, j'ai mal aux pieds. Je pense à la bière, au panaché, au monaco qui nous attendent dans un village. Au gué du Rapidet, nous nous déchaussons et laissons filer les pieds dans l'eau froide. C'est délicieux. De grosses veines comme des cordes se tendent sur nos pieds.
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